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Tripoli affronte les amis d’hier.. ennemis aujourd’hui

Événements

De violents affrontements ont éclaté avec des armes moyennes et légères. Combats entre les « forces de dissuasion » et la « Brigade 444 », Dans la soirée du dimanche 28 mai, au centre de la capitale, Tripoli. Des sources ont rapporté que ces affrontements ont éclaté soudainement dans des quartiers séparés de la capitale, Tripoli (Ras Hassan – Jaraba – Bin Ashour), qui est l’un des quartiers les plus densément peuplés.

Et selon des témoins oculaires, Ces affrontements ont de nouveau repris après une courte période de calme relatif dans les zones sud-est de la capitale (Ain Zara – Al-Farnaj) en fin de soirée dimanche et dans la matinée du lundi 29 mai.

Comme le rapportent divers médias, qu’un certain nombre de familles ont été prises au milieu des affrontements, Et il a envoyé un appel de détresse au Croissant-Rouge libyen, Après avoir été soumis à des tirs aveugles avec des armes légères et moyennes, Certaines sources ont révélé, Et que le dénouement préliminaire de ces affrontements depuis dimanche soir, Il y a eu 7 morts des deux côtés du conflit. Soulignant que quatre d’entre eux appartiennent à la Force spéciale de dissuasion. Alors qu’aucun organisme officiel n’a annoncé le bilan des affrontements entre les deux parties au conflit jusqu’à présent.

Des sources bien informées ont confirmé plus tôt, Depuis dimanche matin, la capitale, Tripoli, connaît des tensions sécuritaires. Et un renforcement militaire des deux côtés, les forces de l’appareil de dissuasion et la 444th Fighting Brigade, Dans le contexte de l’arrestation du capitaine « Musab Zureik », le commandant de la 444e brigade, l’appareil de dissuasion.

Et des pages diffusées sur les plateformes de médias sociaux, tard dimanche soir, le 28 mai, Clips vidéo indiquant le retour au calme suite à la situation sécuritaire tendue dans les zones d’affrontements. C’était après l’intervention d’un certain nombre de chefs militaires dans la ville.

Certaines sources privées ont mentionné, Citation du rassemblement des révolutionnaires de Tajoura, Un certain nombre de responsables des services de sécurité et militaires de la ville sont parvenus, lors d’une réunion de sécurité élargie, à à un accord préalable de désengagement, régler les différends entre les parties au différend, Et ils « seront garants de l’accord entre les deux parties », Tout en veillant à ce que toutes les unités militaires en conflit reprennent leurs positions.

plus tôt, La 444e brigade de combat a confirmé, dans un communiqué de presse, l’enlèvement d’un de ses commandants, le capitaine Musab Zureik. Et la 444e brigade a eu l’occasion de combattre la force de dissuasion. et la Police Judiciaire pendant quelques heures, remettre le capitaine kidnappé, promettant d’aggraver la situation sur le terrain à l’intérieur de la capitale, Tripoli, s’il n’est pas libéré. Des sources proches des deux parties ont déclaré que l’appareil de dissuasion avait mené l’opération en réponse à l’arrestation par le capitaine Zureik du soi-disant « Ahmed Al-Shaftari », le chauffeur du soi-disant Muhammad Al-Kani. Recherché par le parquet pour meurtre.

Lundi 29 mai, à midi. Annonçant la fin des affrontements entre les deux parties au conflit, Parvenir à un accord, dont le plus important était la libération du capitaine « Musab Azrek » de la 444e brigade par les forces de dissuasion. En échange, la libération de 186 membres de l’appareil de dissuasion détenus depuis

 

Avant la 444e Brigade plus tôt, Le soi-disant « Ahmed Al-Shaftari » a également été déféré au parquet sur la base du mandat d’arrêt délivré contre lui par le parquet. Tel que rapporté par des sources informées.

Conclusion

Pour renouveler les affrontements dans la capitale, Tripoli, après une période de calme relatif, Remet au premier plan le récit des formations militaires et des agences de sécurité. Et le fait que cela dépendait ou non de l’autorité et du contrôle de l’État.

remarquable , Que la Force spéciale de dissuasion relève directement du Conseil présidentiel conformément à la résolution n° 578/2020, Alors que la 444th Fighting Brigade est affiliée au ministère de la Défense, comme on le dit ou le dit. Mais il semble que les événements récents dans la capitale indiquent le contraire. Ces dispositifs et formations ne suivent que leurs chefs directs, et ils ne les reconnaissent qu’eux. Il n’a pas de hiérarchies professionnelles pour les ministères et les institutions dont il reçoit ses salaires. Et prétendre en dépendre directement.

ces événements et d’autres, éclaire à nouveau, Sur la base de ce récit, du chaos institutionnel et de la prolifération des armes en dehors de l’autorité de l’État, Cette question nécessite des éclaircissements de la part des ministères ou institutions auxquels appartiennent ces formations militaires et de sécurité. La question se pose maintenant : Ces diverses formations et agences de sécurité reconnaissent-elles l’État et conspirent-elles avec ses ordres et sa politique ? Ou ne reconnaît-il l’État ou son autorité qu’en matière de salaires et de subventions ??

enfin.. La situation sécuritaire et militaire sur le terrain est toujours agitée à l’intérieur de la capitale, Tripoli. Avec une anticipation prudente de toutes les parties, qu’adviendra-t-il de la situation au cours de la période à venir.

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29 mai 2023

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